GUERRE au Moyen-Orient aux conséquences insoupçonnées...
Il y a des personnages dont les médias ne doivent pas parler. Bien
souvent, ce sont les plus intelligents, les plus importants, et parfois
les plus dangereux.
Un nom revient souvent dans les analyses des renseignements américains :
Michael Ledeen.
Tout porte à croire qu'une fange importante des néo-conservateurs soit
sous l'influence de cet énigmatique individu.
Chercheur à l'American Enterprise Institute (AEI), Ledeen est titulaire
de doctorats en Histoire et en Philosophie de l'Université du Wisconsin.
C'est un ancien employé du Pentagone, du Département d'Etat et du
Conseil de Sécurité Nationale (NSC).
Lors de l'affaire Iran-Contra, alors qu'il travaillait comme consultant
avec le chef du NSC, Robert McFarlane, il fut impliqué dans le transfert
d'armes à l'Iran.
Ses idées sont quotidiennement reprises par des personnages comme
Richard Cheney, Donald Rumsfeld et Paul Wolfowitz.
Ses points de vue déterminent quasiment la rupture avec la philosophie
de la politique étrangère américaine qui existait avant la tragédie du
11 septembre 2001.
Sa pensée fondamentale est que la violence servant à propager la
démocratie est le destin manifeste de l'Amérique.
Son rôle fut déterminant dans l'attaque américaine contre l'Irak.
A présent, Ledeen appelle à des changements de régime au-delà de l'Irak.
Récemment, dans un discours qu'il prononça pour le forum politique du
JINSA (l'Institut Juif pour les Affaires de Sécurité Nationale, à
Washington), il déclarait : « le temps de la diplomatie arrive à son
terme; le temps est venu pour un Iran libre, une Syrie libre et un Liban
libre ».
Il travaille étroitement avec la cellule néo-conservatrice la plus
proche de C. Rice.
Ensemble, ils ont créé le Centre pour la Démocratie en Iran (CDI), un
groupe militant axé sur la préparation d'un changement de régime en
Iran. (Voir le prochain Carnet 17.)
Pour Ledeen, « Le changement — et par-dessus tout le changement dans la
violence — est essentiel dans l'histoire humaine ».
Dans un essai remarqué paru dans la National Review Online il affirme:
« La destruction créatrice est notre plus grande vertu... le temps est
venu une nouvelle fois d'exporter la révolution démocratique ». La
religion maçonnique des droits de l'homme, c'est-à- dire la dictature de
la nomenklatura luciférienne, doit donc s'imposer partout au moyen de la
« guerre totale ». « La force est la seule stratégie valable pour
imposer notre idéologie à nos ennemis ». « Une fois que nous aurons
montré notre capacité à infliger une punition terrible à nos ennemis,
notre puissance sera bien plus grande ».
Etant données à la fois sa ferveur et son influence sur les hommes qui
détiennent la puissance de feu, les Américains ne devraient donc pas
s'étonner si les déclarations de Ledeen se traduisent par un embrasement
du Moyen-Orient dans les années à venir....
« Il doit être clair qu'il n'y a pas de place pour deux peuples dans ce
pays... La seule solution est la terre d'Israël, du moins la terre
occidentale d'Israël, sans Arabes. Il n'y a pas de solutions médianes,
ici. Il n'y a pas d'autres moyens sinon le transfert (l'expulsion) des
Arabes d'ici vers les pays voisins, les transférer tous... Il faut qu'il
ne reste aucun village, aucune tribu, tous doivent être transférés vers
l'Irak et la Syrie, et même à l'Est du Jourdain. Pour exécuter cet
objectif, il nous faut beaucoup d'argent. (Le financement étant assuré
par les banques khazares. N.d.l.r.) Après le transfert, le pays pourra
intégrer des millions de nos frères et la solution juive trouvera une
fin et une solution ».
Yosef Weitz, al-Quds, 9 décembre 1940.
Un article du New York Times en date du 13 février, intitulé « Les
Etats-Unis et Israël envisageraient le renversement du Hamas » fournit
une preuve supplémentaire de la détermination de Washington et de Tel
Aviv à renverser l'Autorité palestinienne (AP) nouvellement élue et
dirigée par le Hamas. « L'intention, c'est de priver d'argent l'Autorité
palestinienne et de relations internationales jusqu'au point où d'ici
quelques mois son président, Mahmoud Abbas, soit obligé de tenir une
nouvelle élection », précise l'article. « L'espoir étant que les
Palestiniens soient tellement mécontents de la vie sous un gouvernement
Hamas qu'ils remettront au pouvoir un mouvement Fatah réformé, ayant
tiré des leçons de son échec. «Si un gouvernement Hamas s'avère
incapable de payer les salariés, d'importer des marchandises, de
transférer de l'argent, et de recevoir un montant important d'aides
extérieures, M. Abbas, le président, aurait l'autorité nécessaire pour
dissoudre le parlement et convoquer de nouvelles élections, disent les
responsables [américains et israéliens], même si ce pouvoir n'est pas
explicitement énoncé dans la loi fondamentale palestinienne ».
L'article du New York Times manifeste une fois de plus l'hypocrisie
derrière l'affirmation du gouvernement Bush qu'il veut promouvoir la
démocratie au Moyen Orient.
Au moment même où le gouvernement Bush publiait un démenti formel au New
York Times, de hauts fonctionnaires faisaient des commentaires publics
confirmant la thèse de l'article.
Le 15 février, la secrétaire d'Etat, Condoleezza Rice parut devant le
Comité des relations étrangères du Sénat et déclara qu'un gouvernement
mené par le Hamas ne recevrait pas d'argent américain.
Le gouvernement Bush veut supprimer tout financement de l'AP, et exerce
à cet effet des pressions sur l'Union européenne, sur des Etats
européens individuels, et les alliés des Etats-Unis au Moyen Orient pour
qu'ils fassent de même.
Les Américains entendent maintenir une certaine somme d'argent pour des
projets humanitaires à Gaza et en Cisjordanie, mais à la seule condition
qu'aucun de ces programmes ne soient liés à l'AP.
La stratégie fut crûment exprimée par Dov Weissglas, conseiller du
Premier ministre israélien, Ehud Olmert. « C'est comme un rendez-vous
avec un diététicien », aurait-il dit, selon Haaretz, lors d'une réunion
gouvernementale privée. « Nous devons les rendre [les Palestiniens] bien
plus minces, mais pas au point qu'ils meurent» !
Israël est en train de préparer une série de mesures de grande envergure.
L'Etat sioniste scellera sous peu ses frontières avec Gaza, empêchant
ainsi tous les travailleurs palestiniens d'entrer dans le pays.
Ceci éliminera le revenu dont dépendent quelque 4000 familles. La
Cisjordanie également sera entièrement coupée de Gaza. Et donc, les élus
parlementaires de Gaza ne seront pas en mesure de siéger au conseil
législatif qui est situé en Cisjordanie, à Ramallah.
Ce fait met en doute la possibilité pour le Hamas de former un
gouvernement viable. Plus d'un représentant élu sur dix se trouve déjà
dans des prisons israéliennes, dont dix des 74 représentants du Hamas.
Israël va également suspendre le transfert des taxes et droits de douane
palestiniens qu'il perçoit.
Ces sommes représentent un montant de 50 millions de dollars par mois
pour l'AP, et sa confiscation par Israël exacerbera la crise du
financement de l'AP. « Ce qui est important c'est que les Palestiniens
se rendent compte des conséquences de leur vote », dit un haut
fonctionnaire israélien à Reuters.
Le gouvernement n'a pas encore décidé si Israël devrait ou non couper
l'approvisionnement en eau et en électricité dans les territoires occupés.
mensongère des droits de l'homme, celle des illuminés kabbalistes.
Qui est Mahmoud Ahmadinejad ?
Pour obtenir l'effet désiré : la troisième étape, il manque la mystique
de Mahmoud Ahmadinejad !
Né dans le la ville de Garmsar, à l'Est de Téhéran, en 1956, Ahmadinejad
est le quatrième des sept enfants d'une famille de la classe ouvrière.
Son père, qui était forgeron, a émigré avec toute sa famille à Téhéran
quand Ahmadinejad avait à peine un an. Il a grandi dans la rudesse des
quartiers sud de Téhéran, où un cocktail de pauvreté, de frustration et
de xénophobie à l'apogée de la monarchie élitiste du chah fournissait un
terreau à la montée de l'intégrisme.
Après avoir terminé ses études secondaires, Ahmadinejad est entré à
l'université Elm-o-Sanaat en 1975 en vue de devenir ingénieur. Très
vite, le tourbillon de la révolution islamique conduite par l'ayatollah
Rouhollah Khomeiny l'a arraché à sa salle d'étude pour l'amener à la
mosquée où il a rejoint une génération d'intégristes durs et purs
entièrement dévoués à la cause de la révolution islamique à travers le
monde.
Les étudiants militants de l'Université Elm-o-Sanat à l'époque de la
révolution iranienne étaient dominés par les intégristes islamiques
ultra conservateurs. Ahmadinejad est vite devenu un de leurs dirigeants
pour fonder l'Association des étudiants islamiques dans cette
université, après la chute du shah.
En 1979, il devint le représentant des étudiants de Elm-o- Sanaat au «
Bureau de la consolidation de l'unité entre les universités et les
séminaires théologiques ». Plus tard, ce Bureau sera connu comme le BCU.
C'est feu l'ayatollah Behechti, à l'époque le plus proche confident de
Khomeiny et une figure clé de la direction religieuse qui le mit en
place. Behechti voulait que le BCU façonnât des étudiants islamistes
pour contrer la montée rapide des Moudjahidine du peuple (OMPI) au sein
des étudiants du pays.
Ce BCU a joué un rôle central dans la prise de l'ambassade des
Etats-Unis à Téhéran en novembre 1979. Les membres du conseil central du
BCU, qui comprenaient notamment Ahmadinejad, Ibrahim Asgharzadeh, Mohsen
(Mahmoud) Mirdamadi, Mohsen Kadivar, Mohsen Aghajari, et Abbas Abdi,
étaient régulièrement reçus par Kho¬meiny en personne.
Dix ans plus tard, la plupart des dirigeants du BCU se sont regroupés
autour de Khatami, mais Ahmadinejad est resté loyal aux ultras.
Durant la répression des universités, en 1980, appelée «la révolution
culturelle islamique » par Khomeiny, Ahmadinejad et le BCU ont joué un
rôle crucial dans les purges des enseignants et des étudiants
dissidents, dont beaucoup furent arrêtés puis exécutés.
Les universités sont restées fermées pendant trois ans et Ahmadinejad a
rejoint les gardiens de la révolution.
Au début des années 1980, Ahmadinejad a travaillé dans la « sécurité
interne » des gardiens de la révolution en s'y taillant une réputation
d'interrogateur et de tortionnaire cruel.
En 1986, Ahmadinejad est devenu officier supérieur de la brigade
spéciale des gardiens de la révolution. Il a été affecté à la Garnison
Ramazan près de Kermanchah, dans l'Ouest de l'Iran. La Garnison Ramazan
était le QG des « opérations extraterritoriales » des gardiens de la
révolution, un euphémisme pour les attentats terroristes de l'Iran à
l'étranger.
A Kermanchah, Ahmadinejad a été impliqué dans les opérations terroristes
du régime à l'étranger et a dirigé de nombreuses « opérations
extraterritoriales du corps des pasdarans ».
Avec la formation de la force d'élite Qods (Jérusalem), Ahmadinejad est
devenu l'un de ses principaux commandants.
Il a été le cerveau d'une série d'assassinats au Moyen-Orient et en
Europe, notamment celui du dirigeant kurde Abdorahman Ghassemlou, abattu
par des officiers supérieurs des gardiens de la révolution dans un
appartement à Vienne, en Autriche, en juillet 1989.
Selon des sources au sein des gardiens de la révolution, Ahmadinejad
était l'un des principaux planificateurs de l'attaque.
Ahmadinejad a servi quatre ans comme gouverneur des villes de Makou et
de Khoy, dans le nord-ouest de l'Iran.
En 1993, Ali Laridjani, un collègue officier des pasdarans devenu
ministre de la culture et de l'orientation islamique le choisit comme
son conseiller culturel. Quelques mois plus tard, Ahmadinejad est nommé
gouverneur de la nouvelle province d'Ardebil.
En 1997, le gouvernement fraîchement installé de Khatami renvoie
Ahmadinejad à l'université de Elm-o¬Sanaat pour enseigner. Mais sa
principale activité consiste à structurer une milice islamiste ultra
violente à Ansar-e-Hezbollah.
A son arrivée à la mairie de Téhéran, en avril 2003, Ahmadinejad s'est
attelé à bâtir un réseau puissant d'intégristes : Abadgaran-e Iran-e
Eslami (littéralement, ceux qui développent un Iran islamique).
Travaillant étroitement avec les gardiens de la révolution, Abadgaran
réussit à gagner les élections municipales de 2003 et législatives de 2004.
En fait, ses leaders doivent leur victoire à des taux de participation
extrêmement faibles et à la déception générale de la population
vis-à-vis de la faction modérée du régime, autant qu'à leur machine
militaire et politique bien huilée.
Abadgaran se décrit comme un groupe de jeunes néo-intégristes islamiques
qui veut raviver les idéaux et la politique du fondateur de la
théocratie, l'ayatollah Khomeiny.
Le bilan d'Ahmadinejad est typique de celui des hommes choisis par
l'entourage de Khameneï pour donner un nouveau visage à l'identité ultra
de l'élite religieuse...
Quant à la mission dont se croit investi Ahmadinejad, LIESI en a fait
état dans son numéro 104 (février 2006), expliquant la notion de
«mandaviat». Pour les nouveaux lecteurs, disons que «le mandaviat est un
code désignant la révolution [islamique iranienne], c'est l'esprit même
de la révolution ».
Dans un reportage d'une grande qualité, Scott Peterson, de Christian
Science Monitor, expose toute l'importance du mandaviat dans les
ambitions d'Ahmadinejad et explore les incidences de cette foi dans sa
politique.
Par exemple, en 2004, alors qu'il était maire de Téhéran, Ahmadinejad
semble avoir discrètement incité le Conseil municipal à construire une
grande avenue en guise de préparation à la venue du mandi.
Une année plus tard, en tant que président, il alloua 17 millions de
dollars à l'érection d'une mosquée en carrelage bleu, intimement
associée au mandaviat, à Jamkaran, au sud de la capitale. Il initia
également la construction d'une ligne ferroviaire directe entre Téhéran
et Jamkaran. Il aurait plongé une liste des membres de son cabinet dans
un puits adjacent à la mosquée de Jamkaran pour bénéficier d'une
influence divine favorable.
A l'occasion de son discours aux Nations unies de septembre dernier,
Ahmadinejad déconcerta les dirigeants mondiaux composant son auditoire
en concluant son exposé par une prière pour la venue du mandi : « Ô
Seigneur tout-puissant, je te prie de hâter la venue du dernier
dépositaire de tes secrets, le Promis, cet être humain parfait et pur
qui remplira ce monde de justice et de paix».
A son retour en Iran depuis New York, Ahmadinejad évoqua en ces termes
l'effet de son discours : «Un membre de notre groupe me dit que lorsque
je commençai à dire Au nom de Dieu, le tout-puissant, le miséricordieux,
il distingua une lueur autour de moi et je fus dès lors placé à
l'intérieur de cette aura. Je l'ai senti moi aussi. J'ai senti
l'atmosphère changer tout à coup et, durant ces 27 à 28 minutes, les
leaders mondiaux ne clignèrent plus des yeux. [...] Et ils étaient
captivés. C'était comme si une main s'était emparée d'eux et maintenait
leurs yeux ouverts pour recevoir le message de la République islamique ».
Ce que Peterson appelle l'« obsession présidentielle»du mandaviat
inspire à Ahmadinejad « une certitude qui ne laisse que peu de place au
compromis.
Le défi lancéà l'Amérique et à Israël et la création d'un programme
d'armement nucléaire t'inscrivent dans la préparation du retour du mahdi
». «
Ce type de mentalité vous rend très fort », relève Amir Mohebian,
responsable de la rubrique politique du quotidien Resalat. « Si je crois
que le mandi va arriver d'ici deux, trois, quatre ans, pourquoi
agirais-je avec ménagement?
C'est le moment de se montrer fort, pur et dur ». Pour Ahmadinejad, la
première priorité consiste à défier l'Amérique, et plus spécifiquement à
lui opposer un modèle puissant créé sur la base de la « démocratie
islamique ».
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Rectificatif à l'article du numéro de février 2006
Le 20 mars, l'Iran a démenti l'ouverture de sa bourse de pétrole en euros.
Un porte-parole du ministère iranien du pétrole s'est ainsi exprimé à
l'agence de presse russe RIA Novosti : « Nous n'avons pas d'information
concernant l'ouverture d'une bourse de pétrole dans la région de Kish
[Iran méridional] ». Il a ajouté que cette ouverture n'avait pas encore
lieu et qu'elle avait été retardée...
Les commentateurs russes ont précisé que les transactions
s'effectueraient en euros et que la mise en œuvre de cette décision
aurait des conséquences extrêmement funestes pour la devise américaine !
Voilà notre commentaire. Cela signifie que l'ordre de stopper, pour le
moment, vient de très haut et certainement pas de Washington.
Cela signifie que les belligérants ne sont pas encore prêts pour
enclencher la conflagration prévue
Cela signifie aussi, très probablement, que les préparatifs actuels vont
aboutir à une DESINTEGRATION du système monétaire international et à UNE
GUERRE au Moyen-Orient aux conséquences insoupçonnées...
Le « Comité X» a manifestement besoin d'effectuer encore quelques
réglages mais le but reste le meme
Que chacun en profite pour faire ce qu'il peut...
Dans la brochure « L'Establishment pressé de placer ses pions sur
l'Echiquier – Vers des élections anticipées », publiée l'automne
dernier, plusieurs documents émanant du rabbinat sépharade annonçaient
la liquidation de Sharon et l'avènement d'un pouvoir messianique !
Or, peu de temps avant les élections anticipées israéliennes, les
agences de presse d'Israël annoncèrent la mort du Ray Itzhak Kadouri, le
28 janvier à Jérusalem.
La rédaction de LIESI a retenu les informations suivantes : « Quelques
jours auparavant, dans un sursaut, il aurait transmis à ceux qui se
trouvaient à son chevet un dernier message des plus surprenants.
Selon des proches qui se trouvaient parmi eux, le Ray Kadouri (l'un des
maîtres du judaïsme séfarade) a déclaré en Hébreu :
" Les kabbalistes analyseront mes récentes déclarations concernant la
rédemption et Mashia'h (Messie) et révéleront le nom secret du Mashiah
qui m'a été dévoilé le 9 Hechvan 5764 (4 novembre 2003) ".
Le Ray Kadouri a affirmé avoir rencontré personnellement le Mashia'h.
" Il n'arrivera pas en disant: Je suis le Mashia'h, donnez-moi les rênes.
Ce seront plutôt les cabalistes qui découvriront son nom secret au
travers de codes que j'ai dévoilé, et la nation lui demandera de la
diriger".
Après ces déclarations, une cérémonie a eu lieu en présence de quatre
personnes au cours de laquelle le Ray Kadouri aurait murmuré à l'une
d'entre elles des codes cabalistiques. Le nom de cette personne n'a pas
été dévoilé ».
En 1990, avait eu lieu une mémorable rencontre entre le Ray Kadouri et
le Rabbi de Loubavitch, au cours de laquelle les deux hautes
personnalités religieuses juives avaient échangé une interminable
poignée de main, et s'étaient ouvertement entretenus de « l'imminente
venue de Mashia'h ».
Le Rabbi de Loubavitch avait rappelé au Ray Kadouri, que la
signification même de son nom évoquait une influence spirituelle sur
l'ensemble du monde. [« Kadour » en hébreu signifie « globe ». N.d.l.r.]
Le Ray Kadouri, arrivé en Israël à l'âge de 17 ans, a étudié avec les
plus grands maîtres de la Kabbale dont Rabbi Salman Eliahou, père du
Grand Rabbin d'Israël, Mordehaï Elyahou.
Ce dernier était d'ailleurs présent au côté du Ray jusqu'à son dernier
souffle.
Le Ray Kadouri est considéré comme l'un des plus éminents kabbalistes du
XXe siècle.
C'est seulement après la guerre du Kippour qu'il a été reconnu par tous
comme un véritable maître de la Kabbale.
A cette époque, les familles des soldats disparus pendant la guerre
venaient le voir pour savoir si leurs enfants étaient encore en vie...
Nous attirons le lecteur sur le fait que cette mystique est aujourd'hui
mise en avant par les Sépharades....
l'arrivée du Mahdi (messie shiite) pour le printemps prochain. "Le
messie shiite tuera son pire ennemi à Jérusalem, et pourrait arriver
pendant la prochaine équinoxe".
Et c'est aussi la période à laquelle les sionistes veulent attaquer
l'IRAN (ce que disait LIESI il y a quelques mois)
Néanmoins le président iranien n'est qu'une marionnette, un executant
des basses oeuvres, tout comme ceux qui désirent la guerre Israel-Iran
On voit à travers ces sites qui fleurissent, que l'accélération des
évenements prévus depuis longtemps est en route et qu'il faut convaincre
les peuples qu'ils n'y pourront rien puisque c'est écrit.
Mais il y a toujours un grain de sable (wait and see) :-)